Clôture de la procédure entamée par la Commission européenne contre les casinos virtuels

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Les jeux de hasard et d’argent en ligne font l’objet d’un débat historique. Ils sont parfois les raisons  d’une prohibition de loi ainsi qu’une fréquente dérogation. Il y a toujours eu un souhait public d’empêcher la circulation de ce loisir dans le monde virtuel. Sur le plan économique, une exploitation des jeux dans les sites virtuels contraignait au développement touristique car elle réduit le nombre de clients étrangers d’un casino terrestre.

Le rôle de la Commission européenne sur le plan commerciale

La commission européenne est la surveillante du marché se déroulant dans la zone euro. Afin de mettre en exécution ce rôle, il est établi le libre-échange dans la communauté européenne ainsi que la libéralisation des prestataires. Pourtant, un Cour européen de Justice est installé pour statuer toute forme de jugement qui va à l’encontre de la régularisation du jeu d’argent dans le territoire européen.

Tout ceci est œuvré dans le but de faire régner l’harmonie sur le domaine de la régularisation entre Etats membres.

Visitez la page http://www.informazione.it/c/6FF26BFE-E1DC-42DD-BB6E-32AC3072B04E/La-Commissione-europea-chiude-il-procedimento-contro-i-casino-online pour voir comment cette institution a clôturé la procédure contre les sites de jeux virtuels.

L’exploitation des jeux sur internet, un frein pour le développement local

Lorsqu’une loi autorisant l’implantation des casinos terrestres a été approuvée en 1907, cela a été encadré par une autorité dont la police spéciale. Une initiative prise sous la lutte contre l’accroissement de la criminalité ainsi que la protection des joueurs. Mais la question se tourne vers la raison pour laquelle cette autorisation a été approuvée, compte tenue des risques que l’activité présente sur les joueurs. En effet, l’implantation des casinos dans les stations balnéaires ainsi que dans les endroits éloignés de la grande ville aurait eu une raison économique.

Elle aurait contribué au développement communal grâce à l’accroissement du tourisme ludique. Mais l’histoire ne se termine pas là car il aura fallut que la technologie engendre la fructification du service en ligne pour que les salles de jeux se dématérialisent à leur tours. Ce fait constitue pourtant une menace tantôt pour l’Etat, qui tient à garder le monopole, tantôt pour les citoyens. Ces derniers qui sont dans le risque du jeu pathologique se situent devant le surendettement. Ce sont les facteurs liés à une prohibition venant des politiciens, des religieux et des laïques. Or, sous l’œil de la Commission Européenne, la mise en ligne a pourtant bien été lancée en 2008.

La commission européenne et la réglementation des casinos en lignes

Une procédure de sanction européenne à l’encontre de l’exploitation des jeux de hasard sur internet a bel et bien existé pour de nombreuses raisons. Cette action a été menée pendant plusieurs années à partir du moment où la digitalisation a surgi. Les interdictions ainsi que les sanctions sont liées au bien-être des joueurs ainsi qu’aux impacts que puissent poser cette activité dans l’économie. Une commission dans l’Union européenne est par contre instaurée pour surveiller le bon déroulement du marché intérieur.

Les jeux d’argent en ligne sont entièrement monopolisés en France avant l’année 2010. Patrick Partouche (le président du 1er groupe européen de casinos) veut quasiment se libérer de cette monopole et apporte son explication devant la Commission Européenne. Une mise en demeure a été adressée à l’Etat français, autorisant la FDJ, la PMU et certains opérateurs libres pour contrôler certains jeux.

Face à ce monopole les jeux virtuels n’ont encore pas été légalisés, mais il faut attendre une loi donnant faveur aux espaces ludiques en 2010 pour que cela se réalise. Le 12 mai 2010 une loi est née, affirmant que le secteur doit être régulé puis la concurrence en sera ouverte. C’est la fameuse clôture d’une poursuite qui a marqué l’histoire des casinos.

Cette loi donnait naissance à une porte de rivalité entre les opérateurs dans les paris sportifs et hippiques et les jeux de cercle. La FDJ, la PMU et l’ARJEL ont toujours leur notoriété.